| Belle et spirituelle, elle inspire un vif penchant à son beau-frère, Louis XIV. Elle négocie avec son frère, le roi Charles II d'Angleterre, le traité de Douvres en 1670. Elle meurt subitement et Bossuet prononcera son oraison funèbre. |
| Il sera le dernier roi Stuart. Sa politique absolutiste et sa conviction catholique seront à l'origine de la révolution de 1688. |
| Veuve de Louis XII au bout de trois mois de mariage, elle épouse aussitôt son amant, le duc de Suffolk, qui l'avait accompagnée en France. |
| Louis n'est resté veuf d'Anne de Bretagne que quelques mois car il s'est épris de la jeune Marie Tudor. Leur mariage ne durera que trois mois. |
| Son rapprochement avec la France et son autoritarisme eurent pour conséquence la révolte d'Henri de Lancastre qui le renversa. |
| Il succède à son frère Charles IX. Très intelligent et cultivé, il ne sait pas faire l'unité autour de lui, en raison de ses indécisions et aussi de son homosexualité qui lui fait accorder un crédit excessif à ses "mignons" (Epernon, Joyeuse). Après avoir lutté contre les protestants, il suit le parti des Politiques et signe la Paix de Monsieur en 1576. Henri de Guise fonde alors la Ligue et Henri III s'en déclare le chef mais il n'obtient pas l'adhésion des catholiques fanatiques.Il doit de ce fait reprendre la guerre contre les huguenots et signer avec eux la Paix de Nérac. A la mort de son frère, le duc d'Alençon, en 1584, les problèmes de succession rouvrent les hostilités. La journée de Barricades oblige le roi à fuir Paris en 1588. L'assassinat du duc de Guise est sans effet et le roi doit se rapprocher d'Henri de Navarre. Il va tenter de s'emparer de Paris avec lui lorsqu'il est assassiné par le moine ligueur Clément. |
| Sorbin de Sainte-Foix, son confesseur et Marie de Medicis, sa mère |
| Il succède à son frère François II sous la régence de sa mère, Catherine de Medicis. Celle-ci garde toujours sur lui une influence importante. Il fait une tentative de conciliation envers le parti huguenot avec la Paix de Saint-Germain et laisse gouverner Coligny. Puis il cède à la pression catholique et ordonne, à contrecoeur, le massacre de la Saint-Barthélémy. Il n'y survit que quelques mois. |
| A sa mort Henri de Navarre devient l'héritier légitime du trône de France. |
| Il succède à Louis XII en 1515, après avoir épousé sa fille, Claude de France, l'année précédente. Il prend de suite, avec fougue, la suite de ses prédécesseurs en Italie. La victoire de Marignan (1515) lui ouvre les portes du Milanais et lui donne une alliance perpétuelle avec les Suisses. Sa rivalité avec Charles Quint va croissant. Après son élection au trône impérial en 1519, ce dernier fait peser une menace d'encerclement sur la France. François fait des tentatives pour obtenir l'alliance de l'Angleterre (il rencontre HenriVIII au Camp du Drap d'Or en 1520), mais elles échouent. La défection du Connétable de Bourbon affaiblit encore la France et la défaite de La Bicoque en 1523 lui fait perdre le Milanais. Les Impériaux ont envahi la Provence, François contre-attaque mais après sa défaite à Pavie, en 1525, il est fait prisonnier et doit accepter le traité de Madrid (signé en 1526). Il ne l'applique pas, conserve la Bourgogne, et reprend la guerre après avoir conclu la Ligue de Cognac avec le Pape, Venise et Francesco Sforza. Il signe un compromis, la Paix de Cambrai ou Paix des Dames, en 1529, qui permet à François de se rapprocher des Protestants allemands et des Truces et de reprendre les hostilités en 1536. Il signe enfin la paix de Crépy-en-Laonnois le 18 septembre 1544. Charles Quint renonce au duché de Bourgogne et la France renonce à la Flandre, à l'Artois, au Milanais, à Naples et àl'Aragon. Son attitude face aux Protestants passe de la tolérance (due aux sympathies de sa soeur, Marguerite de Navarre) à la répression après 1534. Il fut l'un des grands introducteurs de la Renaissance italienne en France. (note rédigée par bsd concept pour le logiciel Heredis) |
| Fiancée tout d'abord à Charles d'Espagne, futur Charles Quint, Claude de France voit ses fiançailles annulées par les Etats Généraux. De sa mère, Anne de Bretagne, Claude apporte en dot le duché de Bretagne. Leur union a été voulue par Louis XII dans le dessin de renforcer la continuité Valois-Orléans et Valois-Angoulême. Claude usera de son influence pour rétablir la paix entre Charles Quint et François. |
| Il laisse gouverner les Guise, oncles de son épouse, Marie Stuart. C'est pour soustraire le jeune roi à cette influence que les chefs du parti protestant montent la conjuration d'Amboise (1560). |
Ces pages ont été fabriquées avec le logiciel Oxy-Gen version 1.38c, le 24/09/2012. Vous pouvez le télécharger sur ce site.